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Mâcon sous la neige
Cette photo de Mâcon sous la neige a été prise en février 2005.
Il est rare qu'il neige à Mâcon. On assiste seulement à des chutes de neige tous les trois ou quatre ans. Mâcon est une ville de Bourgogne du Sud qui se trouve au bord de la Saône. Elle bénéficie des effluves du climat méditerranéen qui remontent par le couloir rhodanien jusqu'à Chalon-Sur-Saône. Plus au nord, Beaune et Dijon bénéficient (si on peut dire) d'un climat continental, accentuée par la proximité du Jura et du Morvan, caractérisé par des hivers très froids.
Le climat de Mâcon est très doux et tempéré. Pourtant Mâcon ne se situe pas très loin des grandes stations de ski du Jura, de l'Ain et de la Savoie. Mâcon n'est qu'à 1h30 de Genève par l'autoroute (A40). La situation de la ville est extraordinaire par rapport à tous les moyens de transports, que ce soit par route, par voie maritime ou par train.
Les voies de communication qui passent par Mâcon
Mâcon se trouve au confluent de l'A40 et de l'A6. A 400 km de Paris et 150 km de Genève. En descendant l'A6 on se retrouve à Lyon en moins d'une heure. Lyon se situe environ à 80 km.
Mâcon borde la rivière La Saône qui est une voie de transport maritime incontournable dans la jonction du Rhône au Rhin. Un canal de dérivation de la Saône a été construit pour permettre aux gros tonnages de contourner la ville de Mâcon en passant par la plaine de la Saône à l'est.
Mâcon bénéficie finalement d'une gare TGV. Il n'en existe seulement deux entre Lyon et Paris. Cette gare met Mâcon à 1h35 de la Capitale.
Photo publiée le 29-03-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 11-05-2014
Mise à jour de la description le 11-05-2014
La statue des vendangeurs
Cette sculpture des vendangeurs se situe Place de la Barre à Mâcon. Elle représente les porteurs de bennes. On peut lire sur le socle de la statue le poème suivant, signé P.H. :
Tout au long de la côte ardue et bruissante
de pampres agités, ils vont le buste droit
et reins tendus, portant la benne gémissante
d'un pas souple, à travers les raidillons étroits.
Ils vont graves et lents, conscients de la force
qui gonfle leur chair brune au rythme musculeux
de la nuque aux jarrets et de l'orteil au torse
sous le poids des raisins sanglants et mielleux.
Et comme glorieux de leur rude besogne
ils sourient le regard empli du clair soleil
qui fait jaillir du sol ardent de la Bourgogne
la pourpre des beaux vins généreux et vermeils
2013 a marqué le centenaire de la présentation, lors du salon des artistes français de 1913, du modèle de la statue des vendangeurs par Pierre-Alexandre Morlon. Ce fut ensuite les années de guerre et cette statue ne sera finalement inaugurée que dix ans plus tard, en 1923. Elle est installée place de la Barre à Mâcon et son original en plâtre est conservé par les musées de Mâcon.
Anciens Francs type Morlon
C'est également le sculpteur Morlon qui fera le monument aux morts de Mâcon, toujours en 1923.
Pierre Alexandre Morlon est un natif de Mâcon où il vit le jour le 5 juin 1878 rue du Doyenné pour finir sa vie en 1951 à Houdan dans les Yvelines. Son père était marbrier. C'est donc tout petit qu'il fut mêlé au travail de la pierre. Mais c'est pourtant pour autre chose que ce sculpteur-graveur est très célèbre en France. Il était également médailleur et il a réalisé de nombreuses médailles commémoratives dans les années 20 et les années 30. C'est aussi lui qui réalisa la tête de la république à bonnet phrygien qui se trouve sur les anciennes pièces de monnaie en aluminium avant l'arrivée du nouveau franc. La république y était aussi représentée couronnée de chêne, de laurier ou d’épis de blé.
Mâcon est un des comptoirs viticoles des plus riches et des plus réputés en France. La Saône-et-Loire est un
modèle de production de bons vins ordinaires à prix moyen, très compatibles avec une consommation courante et régulière. D'où viennent ces avantages ? Est-ce du climat, est-ce du sol, est-ce du choix des cépages, est-ce de la bonne culture traditionnelle, est-ce de la vinification ?
La région de Mâcon est bornée par la Saône dans sa partie orientale et abritée à l'ouest par des chaines de montagnes courant sud-nord faisant suite à celles du Beaujolais. C'est une région des plus favorables à la viticulture en raison de son excellente exposition.
Aussi est-ce dans cette zone comprenant les cantons de la Chapelle-Guinchay, de Màcon, de la Roche-Vineuse, de Lugny et de Tournus, que se sont installés les plus riches, les plus beaux et les plus fins vignobles du Mâconnais, y occupant une étendue de près de douze mille hectares sur les seize mille que comporte l'arrondissement de Mâcon.
Les terrains granitiques et porphyriques de Romanèche-Torins, la Chapelle de Guinchay, sont sans doute très favorables à développer les qualités des petits gamays, comme à Chenas et à Fleurie ; les argilo-calcaires qui viennent ensuite à Davayé, Pouilly et Fuissé, sont excellents pour le chardonnay. Mais d'autres régions sont composées des mêmes sols et ne font pas pour autant des vins du Mâconnais.
Pour établir et conserver le commerce et la consommation des vins d'un pays, il faut, avant tout, les faire
avec un cépage déterminé, deux au plus, bien choisis ; et, s'ils sont bons, n'en plus changer.
Les vins du Mâconnais étaient tellement acceptés comme bons ordinaires des familles riches et aisées, qu'aucune sorte de vin n'a été plus imitée par les coupages les plus étranges et les plus savamment combinés. L'arrivée des AOC a mis un terme à ces pratiques.
Le petit gamay à grains ronds, qui compte plusieurs variétés, est la seule base des meilleurs vins rouges du Beaujolais comme du Mâconnais. Voilà le grand secret !
Le pineau blanc ou chardonnay est la seule base des vins blancs de Pouilly, de Fuissé, de Solutré, de Davayé et autres bons crus, à vins blancs, du département de Saône-et-Loire ; voilà ce qui fait et ce qui a fait la réputation légitime des vins blancs de ces pays.
La viticulture est la richesse de cette région et elle fait vivre des dizaines de corps de métiers qui gravitent autour du vin. On peut par exemple citer la tonnellerie et la batellerie. Les commerçants en vin doivent en effet acheminer les productions vers les grandes villes de France : Lyon, Paris, Lille, Strasbourg, Marseille. C'est souvent par péniche que les tonneaux sont transportés.
Pierre Alexandre Morlon est un natif de Mâcon où il vit le jour le 5 juin 1878 rue du Doyenné pour finir sa vie en 1951 à Houdan dans les Yvelines. Son père était marbrier. C'est donc tout petit qu'il fut mêlé au travail de la pierre. Mais c'est pourtant pour autre chose que ce sculpteur-graveur est très célèbre en France. Il était également médailleur et il a réalisé de nombreuses médailles commémoratives dans les années 20 et les années 30. C'est aussi lui qui réalisa la tête de la république à bonnet phrygien qui se trouve sur les anciennes pièces de monnaie en aluminium avant l'arrivée du nouveau franc. La république y était aussi représentée couronnée de chêne, de laurier ou d’épis de blé.
La viticulture à Mâcon
Mâcon est un des comptoirs viticoles des plus riches et des plus réputés en France. La Saône-et-Loire est un
modèle de production de bons vins ordinaires à prix moyen, très compatibles avec une consommation courante et régulière. D'où viennent ces avantages ? Est-ce du climat, est-ce du sol, est-ce du choix des cépages, est-ce de la bonne culture traditionnelle, est-ce de la vinification ?
Le climat
La région de Mâcon est bornée par la Saône dans sa partie orientale et abritée à l'ouest par des chaines de montagnes courant sud-nord faisant suite à celles du Beaujolais. C'est une région des plus favorables à la viticulture en raison de son excellente exposition.
Aussi est-ce dans cette zone comprenant les cantons de la Chapelle-Guinchay, de Màcon, de la Roche-Vineuse, de Lugny et de Tournus, que se sont installés les plus riches, les plus beaux et les plus fins vignobles du Mâconnais, y occupant une étendue de près de douze mille hectares sur les seize mille que comporte l'arrondissement de Mâcon.
Les sols
Les terrains granitiques et porphyriques de Romanèche-Torins, la Chapelle de Guinchay, sont sans doute très favorables à développer les qualités des petits gamays, comme à Chenas et à Fleurie ; les argilo-calcaires qui viennent ensuite à Davayé, Pouilly et Fuissé, sont excellents pour le chardonnay. Mais d'autres régions sont composées des mêmes sols et ne font pas pour autant des vins du Mâconnais.
Le cépage
Pour établir et conserver le commerce et la consommation des vins d'un pays, il faut, avant tout, les faire
avec un cépage déterminé, deux au plus, bien choisis ; et, s'ils sont bons, n'en plus changer.
Les vins du Mâconnais étaient tellement acceptés comme bons ordinaires des familles riches et aisées, qu'aucune sorte de vin n'a été plus imitée par les coupages les plus étranges et les plus savamment combinés. L'arrivée des AOC a mis un terme à ces pratiques.
Le petit gamay à grains ronds, qui compte plusieurs variétés, est la seule base des meilleurs vins rouges du Beaujolais comme du Mâconnais. Voilà le grand secret !
Le pineau blanc ou chardonnay est la seule base des vins blancs de Pouilly, de Fuissé, de Solutré, de Davayé et autres bons crus, à vins blancs, du département de Saône-et-Loire ; voilà ce qui fait et ce qui a fait la réputation légitime des vins blancs de ces pays.
La viticulture fait vivre des dizaines de corps de métiers
La viticulture est la richesse de cette région et elle fait vivre des dizaines de corps de métiers qui gravitent autour du vin. On peut par exemple citer la tonnellerie et la batellerie. Les commerçants en vin doivent en effet acheminer les productions vers les grandes villes de France : Lyon, Paris, Lille, Strasbourg, Marseille. C'est souvent par péniche que les tonneaux sont transportés.
Gravure d'ouvriers tonneliers à Mâcon
Photo publiée le 23-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 24-05-2014
Mise à jour de la description le 24-05-2014
Le Pont de Saint-Laurent
Le Pont de Saint-Laurent est un pont du XIe siècle qui enjambe la Saône à la hauteur de Mâcon. Il est composé de 12 arches en pierre qui réunissent la ville de Mâcon à celle de Saint-Laurent-sur-Saône dans le département de l'Ain.
Le Pont de Saint-Laurent est classé monument historique depuis 1987.
Le Pont de Saint-Laurent est classé monument historique depuis 1987.
L'histoire du pont de Saint-Laurent
La construction du pont de Saint-Laurent
Le pont de Saint Laurent est déjà cité dans des documents datant de l'an 1077. On croit qu'il a été construit par Othon II, alors comte de Mâcon, ou par son fils Geoffroy. Ce qui est certain et prouvé est qu'il n'existait pas encore en 997.
Il fut ensuite fortifié en 1221.
Les transformations du XVe siècle
A l'origine, le pont était composé de seulement 6 arches. Mais il fut allongé de 6 nouvelles arches au XVe siècle. En fait, il semblerait que le pont ait été entièrement reconstruit au XVe siècle car l'arche qu'on appelait « l'arche Saint-Nicolas » s'effondra dans la nuit du 19 octobre 1423, à 10h du soir. La Saône est une rivière lente et régulière aux crues très fréquentes. L'arche St-Nicolas a été emportée par les eaux de la Saône en crue.
L'allongement du pont s'est accompagné d'un creusement du lit de la Saône pour la dévier vers la Bresse et ainsi modérer l'effet de ses inondations.
La longueur du pont de Saint-Laurent à Mâcon passe alors à 215 m.
Renforcement du pont au XVIIIe siècle
En 1778 le pont était à nouveau prêt à s'écrouler. On le fit alors encapsulé par de nouvelles constructions de pierre qui le renforcèrent et le rendirent plus large.
Nouvelles transformations du pont de Saint-Laurent au XIXe siècle
En 1842 eurent enfin lieu de nouveaux travaux pour ré-hausser les quatre premières arches du pont de Saint-Laurent, côté Mâcon, afin de faciliter la navigation sur la Saône. C'est à cette même date que fut construite la banquette de halage de Mâcon. Elle s'étend sur 450 m de long et se trouve à 4m10 sous la première arche. Le but était de libérer les quais de la ville du passage incessant des chevaux tirant les cordes de halage. C'était en effet extrêmement dangereux pour les autres voyageurs. Depuis la construction de la banquette de halage, la traversée de Mâcon, jadis si périlleuse, est devenue l'une des plus sûres et des plus commodes de la Saône.
Les travaux de surélévation de quatre premières arches sont achevés en 1843. Ils facilitent, en cas de crue, le passage des bateaux qui naviguent sur la Saône.
La chaussée du pont de Saint-Laurent fut encore élargie grâce à des pierres placées en encorbellement pour former les trottoirs. Une balustrade en fer forgé d'un mètre de hauteur remplaça l'ancien parapet de pierre.
Représentation du Pont de Saint-Laurent, depuis Mâcon, en 1905
Les travaux effectués à Saint-Laurent
De l'autre côté de la Saône, à Saint-Laurent-sur-Saône, qui s'appelait Saint-Laurent-lès-Mâcon à l'époque, furent entrepris également des travaux qui consistaient en la construction d'un port à gradins de 95 m de long et d'un quai de 556 m se trouvant à 5m au dessus du niveau le plus bas de la Saône.
Un mur d'épaulement de 46 m de long fut construit contre la première arche du pont pour soutenir les berges. Ces travaux se déroulent en même temps que ceux qui ont lieu côté Mâcon. Ils se terminent en 1842 et sont du plus bel effet car auparavant la bourgade de Saint-Laurent était longée par des plages basses et boueuses où s'accumulaient souvent des déchets charriés par la rivière. Ces accumulations de débris et détritus pouvaient gêner l'écoulement de la Saône et favoriser l'amoncellement d'autres déchets. Les travaux effectués à l'époque complètent l'encaissement de la Saône dans la traversée de Mâcon et tendent à y maintenir un tirant d'eau régulier.
Tentative de destruction du pont pendant la guerre
Le Pont de Saint-Laurent a évité le pire en septembre 1944 quand l'armée allemande en retraite a tenté de le détruire pour ralentir la progression des alliés.
L'accident de 2009
Le 25 mai 2009 une voiture roulant à 97 km/h sur le pont de Saint-Laurent, aux pneus lisses, présentant des freins défectueux, et dont le conducteur était en état d'ébriété et sous l'emprise de drogues et de stupéfiants, est tombée du pont de Saint-Laurent dans la Saône. Le conducteur n'était même pas le propriétaire de la voiture. Deux jeunes mâconnais avaient trouvé la mort. Une partie du parapet est pulvérisé et une pierre d'1m de long tombe dans la Saône.
Légendes du Pont de Saint-Laurent
Certains prétendent que le pont aurait été construit par Jules César, mais ce n'est pas la vérité car en 997 il n'existait pas de pont qui enjambait la Saône qu'on traversait alors avec un bac. Les légions romaines auraient peut-être construit un pont de bois pendant la conquête de la Gaule mais il n'existe pas de documents formels pour le vérifier.
Pendant les Guerres de Religion, le Pont de Saint-Laurent connut des heures tragiques quand Guillaume de Saint-Point, gouverneur de Mâcon, précipitait les prisonniers huguenots dans la Saône depuis le parapet du pont. Ceci n'est pas une légende mais bien la réalité.
Il semblerait que les piles du pont reposent sur les même rondins de chêne depuis le XVe siècle (ou peut-être même le XIe siècle). Le bois plongé dans l'eau a durci et il est maintenant presque aussi dur que de la pierre. Les arches seraient également creuses et l'on pourrait passer d'une arche à l'autre par des sous-terrains servant à l'inspection du pont. Ce ne sont peut-être que des légendes, je n'arrive pas à retrouver sur internet des documents qui le mentionnent.
Photo publiée le 21-04-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Mise à jour de la description le 19-05-2014
La Saône à Mâcon
La Saône
La Saône est une rivière qui mesure 480 km de long. Elle prend sa source dans les Vosges à 402 mètres d'altitude. La Saône se jette dans le Rhône à Lyon, mais à présent, à la confluence, il semblerait que le débit de la Saône soit légèrement supérieur à celui du Rhône. Ca serait donc le Rhône qui se jette dans la Saône...
Le principal affluent de la Saône est le Doubs.
La Saône traverse plusieurs départements : les Vosges, la Haute-Saône, la Côte-d'Or, la Saône-et-Loire et pour finir le département du Rhône.
La Saône est une rivière lente aux crues fréquentes.
Mâcon
Mâcon est une ville qui se trouve sur la rive droite de la Saône. Il s'agit de la préfecture du département de la Saône et Loire.
Mâcon est plus petite que Chalon-Sur-Saône, mais dispose de moins d'industries. C'est une ville plus bourgeoise et administrative. C'est pour cette raison qu'on lui a donné le titre de préfecture.
Pour la réalisation de la jonction entre le Rhône et le Rhin, la Saône était la principale voie de communication pour les grosses péniches. Malheureusement, le pont de Saint-Laurent sur Saône qui traverse la Saône à la hauteur de Mâcon est classé monument historique. Il a été nécessaire de creuser un canal de dérivation de la Saône pour permettre aux grands gabarits de franchir la ville de Mâcon en la contournant par l'est (département de l'Ain).
Une frontière entre la France et la Savoie
Autrefois, la Saône constituait une frontière naturelle. De part et d'autre du pont de Saint-Laurent se trouvait un poste frontière. La Bresse, qui se trouve de l'autre côté de la rivière, faisait partie du duché de Savoie. Ce n'est qu'en 1601 que la Bresse a été rattachée à la France sous Henri IV.
Henri IV avait déclaré la guerre à la Savoie au début de l’année 1595. C'est le gouverneur de Bourgogne, un nommé Biron, qui est chargé d’occuper la Bresse. Certaines petites bourgades apportent spontanément les clefs de leur ville à l'envahisseur français. On peut citer Bâgé-le-Châtel, Pont-de-Vaux, Pont-de-Veyle, Châtillon-Sur-Chalaronne, ... Mais ça n’empêche pas les pillages et les massacres. En marchant sur l’ennemi, Biron rase au passage le château de Saint-Julien-sur-Reyssouze. Ce n'est que la menace espagnol en Bourgogne qui stoppa momentanément l'avancée des troupes en Bresse.
La venue d'Henri IV
La France est finalement victorieuse de la Bresse le 5 juin 1595. Henri IV vint s’installer à Lyon. Il arrive à Pont-de-Vaux avant de gagner Saint-Laurent-Sur-Saône où il embarque pour Lyon. Il fera la descente de la Saône en bateau.
Lyon devint la plaque tournante des attaques françaises contre l’Espagne et la Savoie. Cette dernière signe finalement le traité de Lyon le 17 janvier 1601. La Bresse et le Bugey reviennent définitivement à la France. La Savoie, quant à elle, ne rejoindra la France que par annexion lors du traité de Turin en 1860.
Photo publiée le 29-03-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 14-05-2014
Mise à jour de la description le 14-05-2014
Eglise Saint-Pierre à Mâcon
Photo publiée le 19-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Chambre de commerce de Mâcon
Photo publiée le 19-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Mise à jour de la description le 19-05-2014
La Maison de Bois à Mâcon
Photo publiée le 19-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Mise à jour de la description le 19-05-2014
La Nationale 6 traverse Mâcon
Cette borne n'existe plus car la RN 6 a été déclassée départementale en 2006
Photo publiée le 22-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 22-05-2014
Mise à jour de la description le 22-05-2014
Blanche Neige et les sept nains
Photo publiée le 11-05-2014 par Indigene
Mise à jour de la description le 19-05-2014
Mise à jour de la description le 19-05-2014
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