Fiche Photo
Palais de justice de Reims
Palais de justice de Reims
Il vaut mieux ne pas attendre d'y être convoqué par un juge pour visiter le Palais de Justice de Reims. Le Tribunal de Grande Instance de Reims se situe à coté de la Cathédrale mais son entrée principale se trouve Place Myron Herrick, au bout de la Rue de Vesle.
L'édifice date de 1839. Il fut construit à la place d'un ancien hôpital pour les pauvres : l'Hôtel Dieu Notre Dame. C'est l'architecte Alfonse Gosset qui en est le concepteur.
L'ancien Hôtel-Dieu Notre Dame de Reims avant son remplacement par le Palais de Justice
L'Hôtel-Dieu de Reims était très riche jusqu'à la révolution. Il faisait de ses richesses un noble emploi pour aider les pauvres et les nécessiteux. A l'origine ce n'était pas encore un hôpital mais un hôtel de charité. On y exerçait la charité la plus large que le libéralisme puisse rêver. Les gens de toutes les nations, les hommes de tous les cultes y trouvaient l'hospitalité s'ils en avaient besoin. Il y avait du linge pour le soldat blessé, des secours pour le prisonnier de guerre. Les enfants abandonnés retrouvaient sous ce toit paternel les soins de la mère qui les avait abandonnés ou que Dieu avait rappelée de ce monde. Le voyageur indigent ne frappait pas en vain à la porte du Seigneur : un lit pour la nuit dans une salle particulière lui était réservé, un morceau de pain le soir, un autre le lendemain, lui étaient servis. Au point du jour, les sergents de ville venaient le chercher et le conduire aux portes de la ville.
Ces traditions hospitalières furent suivies jusqu'en 1804. Les revenus de la maison dont les biens avaient été vendus en partie, n'y pouvaient plus suffire. La charité chrétienne ne compte pas, mais l'établissement devait rendre des comptes à l'administration dont les systèmes ne sont pas invariables ni charitables.
L'antique édifice renfermait neuf salles principales placées sous l'invocation du Seigneur et de ses saints. Elles contenaient 255 lits. Tous les ans, le jour de l'Ascension, la procession qui sortait de la Cathédrale Notre-Dame entrait à l'Hôtel Dieu et promenait dans toutes les salles la statue de la Mère qui souffrit tout dans ce monde, de celle qui console les affligés. C'était une pratique qui donnaient la force à la faiblesse, la santé à la souffrance, la vie à la mort, la richesse à l'indigence, l'homme à ses frères malheureux, le ciel aux infirmités humaines.
L'ancien Hôtel-Dieu avait quatre façades donnant, l'une sur le parvis Notre-Dame, une autre sur la rue du Trésor, la troisième rue du Puits-du-Terra, la quatrième rue de la Poissonnerie.
La façade qui donnait sur ce qu'on appelle de nos jours la place Myron Herrick, se divisait en trois parties. Du côté de la Poissonnerie était le pavillon qui fait aujourd'hui partie du palais de justice ; venait ensuite un grand corps-de-logis à trois étages, contenant des salles de malades ; après lui, s'élevait un joli portail, construit du XIIIe au XIVe siècle. Son fronton était percé d'une rosace au sommet, et de deux verrières placées plus bas. Le tout était renfermé dans une grande ogive. Comme on peut le voir sur la gravure, on montait quelques marches pour arriver à la porte ; elle était séparée en deux par un trumeau sur lequel s'appuyait une statue. Deux contreforts ayant leur base sur la place, précédaient cette partie de l'édifice. Ils supportaient le fronton d'une première porte élevée devant l'ancienne au XVIe ou au XVIIe siècle. Deux colonnes à chapiteaux corinthiens la décoraient. Elle était à plein-cintre, une croix de pierre s'élevait à son sommet.
Ce portail conduisait jadis à une chapelle dédiée à Sainte Catherine, placée dans l'intérieur de l'Hôtel-Dieu, et aux magasins de la maison. Un clocher à base carrée se voyait à cheval sur le bâtiment dont nous venons de décrire la porte. Sur la rue du Trésor se trouvaient plusieurs corps-de-logis sans ensemble. On y voyait d'abord l'un des bas-côtés d'une chapelle et ses fenêtres à plein cintre, ouvertes au rez-de-chaussée, puis à un second étage. Plus loin on apercevait la façade du transept ; elle avait un fronton à angle aigu, une longue verrière dans sa partie supérieure, et deux fenêtres de moindre dimension au-dessous. Plus loin encore était une autre façade du même genre : trois verrières placées sur une même ligne, la plus grande au milieu, s'ouvraient dans la partie supérieure. Au rez-de-chaussée, entre deux fenêtres, était une large porte au-dessous de laquelle était sculptée la sainte face sur le linge qui en reçut l'empreinte. Là se trouvait la grande salle dite des Piliers, celle que la tradition faisait remonter à Hincmar.
Saint Nicolas était le patron de l'Hôtel-Dieu. Quelques-unes des verrières dont nous venons de parler faisaient partie de la chapelle placée sous son invocation. Là se disait la messe des malades, là les enfants nés dans la maison recevaient la bénédiction du baptême. On priait là pour les agonisants, puis pour les décédés. L'autel était pauvre. Dans la nef étaient les fonts baptismaux. Les murs intérieurs de l'oratoire étaient couverts de vieilles tapisseries et de toiles peintes. Les fenêtres avaient eu jadis des vitraux de couleur. Sur la principale d'entre elles on voyait le Christ crucifié ; dans le fond s'élevait Jérusalem ; aux pieds de la croix étaient les rois de la terre, des saints et des anges. Dans le haut du tableau dominaient le Père Eternel et le Saint-Esprit.
Le 4 mars 1808, un décret impérial rétablit à l'Hôtel-Dieu l'ancienne Ecole de médecine de Reims. En 1809, des cours de diverse nature y furent commencés, la chirurgie, l'art des accouchements, la pharmacie y eurent leurs professeurs.
L'Hôtel-Dieu finit par ne pouvoir plus suffire aux besoins d'une cité qui devenait chaque jour plus peuplée. Dès 1768, on songeait à le transporter dans une partie de la ville où l'air serait plus pur, où de vastes terrains permettraient aux architectes d'élever des bâtiments sains et larges, de tracer des jardins pour les convalescents. A cette époque, on pensait à réunir les couvents de Saint-Nicaise et de Saint-Rémi, et à placer l'Hôtel-Dieu dans les bâtiments de celui qui rejoindrait l'autre.
On hésita longtemps. La révolution vint simplifier la question en démolissant Saint-Nicaise. Saint-Rémi, devenu vacant, attendit plusieurs années sa nouvelle destination, et ce fut encore dans l'ancien Hôtel-Dieu que les malades et les blessés de 1814 furent amoncelés. Ces lugubres circonstances rendirent de plus en plus nécessaire son déplacement : ce fut en 1823 seulement que les immenses travaux qu'il fallait faire furent achevés. Le déménagement commença, et les anciennes salles des Bénédictins virent bientôt arriver de nouveaux hôtes.
Lorsqu'en 1826 l'Hôtel-Dieu fut transféré dans les bâtiments de l'abbaye Saint-Rémi, les religieuses dirent adieu aux ossements de leurs soeurs trépassées. Pour la dernière fois elles s'agenouillèrent sur ces tombes sans épitaphes, sans écussons, mais riches de pieux souvenirs, où elles ne devaient pas rejoindre celles qui les avaient devancées. L'autorité comprit son devoir. La pioche de l'entrepreneur ne viola pas les vénérables tombes. Les saintes reliques ne furent pas profanées et jetées au vent. Tous les ossements furent recueillis avec respect et transférés dans le nouveau cimetière de Reims.
La façade de l'Hôtel-Dieu du côté du parvis de la Cathédrale devint la prison. Les détenus, expulsés en 1825 de la chapelle archiépiscopale, furent renfermés dans les bâtiments qu'occupait l'ancienne administration publique ; la cour des Prêtres servit à leurs courtes promenades.
Les anciens bâtiments ont été restaurés, démolis ou remplacés, et forment de nos jours le Palais de justice de Reims. Le tribunal civil et correctionnel de l'arrondissement de Reims et la cour d'assises de la Marne, après avoir occupé l'archevêché, le collège et l'hôtel de ville, s'y sont installés en novembre 1839.
Le Palais de Justice renferme des pièces immenses, deux vastes cours, et une salle des pas-perdus d'une belle dimension. Il est bâti sur de vastes voûtes qui servaient de caves et de bas-celliers à l'ancien Hôtel-Dieu. On avait eu l'idée d'y placer une halle. Elles sont aujourd'hui sans utilité.
La façade du Palais de Justice s'inspire de celle de l'ancien Hôtel-Dieu. Elle est décorée de quatre colonnes inspirées de l'art grec qui supportent un fronton triangulaire sculpté.
Le tribunal se trouvait juste à côté de la prison, construite en 1835. La prison faisait face au parvis de la cathédrale. C'est finalement en 1906 qu'elle fut démolie pour permettre l'agrandissement du Palais de Justice de Reims. La nouvelle prison, datant de 1905, a été construite à l'une des extrémités de la ville. Elle fut en grande partie détruite lors d'un bombardement en 1944.
REIMS - Palais de Justice - Les bombardements allemands pendant la guerre de 1914-18
La première guerre mondiale fit d'énormes dégâts à Reims et le Palais de Justice ne fut pas épargné. Il ne lui restait plus aucune toiture et seule la façade était plutôt préservée par rapport aux bâtiments qui se trouvaient dans la même rue.
REIMS - La Palais de Justice sur le parvis de la Cathédrale en 1919
L'édifice date de 1839. Il fut construit à la place d'un ancien hôpital pour les pauvres : l'Hôtel Dieu Notre Dame. C'est l'architecte Alfonse Gosset qui en est le concepteur.
L'ancien Hôtel-Dieu Notre Dame de Reims avant son remplacement par le Palais de Justice
L'ancien Hôtel-Dieu Notre-Dame
L'Hôtel-Dieu de Reims était très riche jusqu'à la révolution. Il faisait de ses richesses un noble emploi pour aider les pauvres et les nécessiteux. A l'origine ce n'était pas encore un hôpital mais un hôtel de charité. On y exerçait la charité la plus large que le libéralisme puisse rêver. Les gens de toutes les nations, les hommes de tous les cultes y trouvaient l'hospitalité s'ils en avaient besoin. Il y avait du linge pour le soldat blessé, des secours pour le prisonnier de guerre. Les enfants abandonnés retrouvaient sous ce toit paternel les soins de la mère qui les avait abandonnés ou que Dieu avait rappelée de ce monde. Le voyageur indigent ne frappait pas en vain à la porte du Seigneur : un lit pour la nuit dans une salle particulière lui était réservé, un morceau de pain le soir, un autre le lendemain, lui étaient servis. Au point du jour, les sergents de ville venaient le chercher et le conduire aux portes de la ville.
Ces traditions hospitalières furent suivies jusqu'en 1804. Les revenus de la maison dont les biens avaient été vendus en partie, n'y pouvaient plus suffire. La charité chrétienne ne compte pas, mais l'établissement devait rendre des comptes à l'administration dont les systèmes ne sont pas invariables ni charitables.
Description de l'ancien Hôtel-Dieu de Reims
L'antique édifice renfermait neuf salles principales placées sous l'invocation du Seigneur et de ses saints. Elles contenaient 255 lits. Tous les ans, le jour de l'Ascension, la procession qui sortait de la Cathédrale Notre-Dame entrait à l'Hôtel Dieu et promenait dans toutes les salles la statue de la Mère qui souffrit tout dans ce monde, de celle qui console les affligés. C'était une pratique qui donnaient la force à la faiblesse, la santé à la souffrance, la vie à la mort, la richesse à l'indigence, l'homme à ses frères malheureux, le ciel aux infirmités humaines.
L'ancien Hôtel-Dieu avait quatre façades donnant, l'une sur le parvis Notre-Dame, une autre sur la rue du Trésor, la troisième rue du Puits-du-Terra, la quatrième rue de la Poissonnerie.
La façade qui donnait sur ce qu'on appelle de nos jours la place Myron Herrick, se divisait en trois parties. Du côté de la Poissonnerie était le pavillon qui fait aujourd'hui partie du palais de justice ; venait ensuite un grand corps-de-logis à trois étages, contenant des salles de malades ; après lui, s'élevait un joli portail, construit du XIIIe au XIVe siècle. Son fronton était percé d'une rosace au sommet, et de deux verrières placées plus bas. Le tout était renfermé dans une grande ogive. Comme on peut le voir sur la gravure, on montait quelques marches pour arriver à la porte ; elle était séparée en deux par un trumeau sur lequel s'appuyait une statue. Deux contreforts ayant leur base sur la place, précédaient cette partie de l'édifice. Ils supportaient le fronton d'une première porte élevée devant l'ancienne au XVIe ou au XVIIe siècle. Deux colonnes à chapiteaux corinthiens la décoraient. Elle était à plein-cintre, une croix de pierre s'élevait à son sommet.
Ce portail conduisait jadis à une chapelle dédiée à Sainte Catherine, placée dans l'intérieur de l'Hôtel-Dieu, et aux magasins de la maison. Un clocher à base carrée se voyait à cheval sur le bâtiment dont nous venons de décrire la porte. Sur la rue du Trésor se trouvaient plusieurs corps-de-logis sans ensemble. On y voyait d'abord l'un des bas-côtés d'une chapelle et ses fenêtres à plein cintre, ouvertes au rez-de-chaussée, puis à un second étage. Plus loin on apercevait la façade du transept ; elle avait un fronton à angle aigu, une longue verrière dans sa partie supérieure, et deux fenêtres de moindre dimension au-dessous. Plus loin encore était une autre façade du même genre : trois verrières placées sur une même ligne, la plus grande au milieu, s'ouvraient dans la partie supérieure. Au rez-de-chaussée, entre deux fenêtres, était une large porte au-dessous de laquelle était sculptée la sainte face sur le linge qui en reçut l'empreinte. Là se trouvait la grande salle dite des Piliers, celle que la tradition faisait remonter à Hincmar.
Saint Nicolas était le patron de l'Hôtel-Dieu. Quelques-unes des verrières dont nous venons de parler faisaient partie de la chapelle placée sous son invocation. Là se disait la messe des malades, là les enfants nés dans la maison recevaient la bénédiction du baptême. On priait là pour les agonisants, puis pour les décédés. L'autel était pauvre. Dans la nef étaient les fonts baptismaux. Les murs intérieurs de l'oratoire étaient couverts de vieilles tapisseries et de toiles peintes. Les fenêtres avaient eu jadis des vitraux de couleur. Sur la principale d'entre elles on voyait le Christ crucifié ; dans le fond s'élevait Jérusalem ; aux pieds de la croix étaient les rois de la terre, des saints et des anges. Dans le haut du tableau dominaient le Père Eternel et le Saint-Esprit.
Ancienne école de médecine de Reims
Le 4 mars 1808, un décret impérial rétablit à l'Hôtel-Dieu l'ancienne Ecole de médecine de Reims. En 1809, des cours de diverse nature y furent commencés, la chirurgie, l'art des accouchements, la pharmacie y eurent leurs professeurs.
L'Hôtel-Dieu finit par ne pouvoir plus suffire aux besoins d'une cité qui devenait chaque jour plus peuplée. Dès 1768, on songeait à le transporter dans une partie de la ville où l'air serait plus pur, où de vastes terrains permettraient aux architectes d'élever des bâtiments sains et larges, de tracer des jardins pour les convalescents. A cette époque, on pensait à réunir les couvents de Saint-Nicaise et de Saint-Rémi, et à placer l'Hôtel-Dieu dans les bâtiments de celui qui rejoindrait l'autre.
On hésita longtemps. La révolution vint simplifier la question en démolissant Saint-Nicaise. Saint-Rémi, devenu vacant, attendit plusieurs années sa nouvelle destination, et ce fut encore dans l'ancien Hôtel-Dieu que les malades et les blessés de 1814 furent amoncelés. Ces lugubres circonstances rendirent de plus en plus nécessaire son déplacement : ce fut en 1823 seulement que les immenses travaux qu'il fallait faire furent achevés. Le déménagement commença, et les anciennes salles des Bénédictins virent bientôt arriver de nouveaux hôtes.
Lorsqu'en 1826 l'Hôtel-Dieu fut transféré dans les bâtiments de l'abbaye Saint-Rémi, les religieuses dirent adieu aux ossements de leurs soeurs trépassées. Pour la dernière fois elles s'agenouillèrent sur ces tombes sans épitaphes, sans écussons, mais riches de pieux souvenirs, où elles ne devaient pas rejoindre celles qui les avaient devancées. L'autorité comprit son devoir. La pioche de l'entrepreneur ne viola pas les vénérables tombes. Les saintes reliques ne furent pas profanées et jetées au vent. Tous les ossements furent recueillis avec respect et transférés dans le nouveau cimetière de Reims.
Construction du Palais de Justice de Reims à la place de l'Hôtel Dieu
La façade de l'Hôtel-Dieu du côté du parvis de la Cathédrale devint la prison. Les détenus, expulsés en 1825 de la chapelle archiépiscopale, furent renfermés dans les bâtiments qu'occupait l'ancienne administration publique ; la cour des Prêtres servit à leurs courtes promenades.
Les anciens bâtiments ont été restaurés, démolis ou remplacés, et forment de nos jours le Palais de justice de Reims. Le tribunal civil et correctionnel de l'arrondissement de Reims et la cour d'assises de la Marne, après avoir occupé l'archevêché, le collège et l'hôtel de ville, s'y sont installés en novembre 1839.
Le Palais de Justice renferme des pièces immenses, deux vastes cours, et une salle des pas-perdus d'une belle dimension. Il est bâti sur de vastes voûtes qui servaient de caves et de bas-celliers à l'ancien Hôtel-Dieu. On avait eu l'idée d'y placer une halle. Elles sont aujourd'hui sans utilité.
La façade du Palais de Justice s'inspire de celle de l'ancien Hôtel-Dieu. Elle est décorée de quatre colonnes inspirées de l'art grec qui supportent un fronton triangulaire sculpté.
Agrandissement du Palais de Justice
Le tribunal se trouvait juste à côté de la prison, construite en 1835. La prison faisait face au parvis de la cathédrale. C'est finalement en 1906 qu'elle fut démolie pour permettre l'agrandissement du Palais de Justice de Reims. La nouvelle prison, datant de 1905, a été construite à l'une des extrémités de la ville. Elle fut en grande partie détruite lors d'un bombardement en 1944.
REIMS - Palais de Justice - Les bombardements allemands pendant la guerre de 1914-18
Reconstruction après la guerre
La première guerre mondiale fit d'énormes dégâts à Reims et le Palais de Justice ne fut pas épargné. Il ne lui restait plus aucune toiture et seule la façade était plutôt préservée par rapport aux bâtiments qui se trouvaient dans la même rue.
REIMS - La Palais de Justice sur le parvis de la Cathédrale en 1919
Information
- Cette photo est présentée sur http://www.galerie-photos.org dans l'album Reims : La ville des sacres des rois de France
Suivez le lien pour découvrir les autres photos de la galerie Reims
http://www.galerie-photos.org
[reflex canon] [canon eos] [reflex numérique] [galeries photos] [articles] [blog] [liens] [partenaires] [contact]
(c) Indigene 2019 - Toute reproduction, même partielle,
du site ou de son contenu est interdite
[reflex canon] [canon eos] [reflex numérique] [galeries photos] [articles] [blog] [liens] [partenaires] [contact]
(c) Indigene 2019 - Toute reproduction, même partielle,
du site ou de son contenu est interdite
© http://www.galerie-photos.org 2019. Tous Droits Réservés.
Partenaires :
Book photo | Faire un book photos | Anny Go Play photographiée par Vera | magie celtique