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Fierté africaine
Fierté africaine
La fierté du peuple africain est légendaire. Le peuple noir a beaucoup payé de sa personne à l'époque dramatique de la traite des nègres qui étaient acheminés par bateau dans le nouveau monde pour être réduits à l'esclavage.
Pendant trois siècles il y a eut plus de dix millions de déportés et de déracinés pour le compte de l'esclavage. La France y a beaucoup participé avec le port négrier de Nantes d'où partaient les bateaux destinés à transporter ce qu'il appelaient « le bois d'ébène ».
A l'arrivée au port, le bateau était entouré d'un grand filet pour éviter les suicides. Pendant la traversée il y avait plus de 30% des esclaves qui n'arrivaient jamais au bout. Les esclaves étaient nus pour éviter la vermine. Seule les femmes portaient un cache-sexe et un pagne autour de la taille. Des femmes noires étaient désignées pour s'occuper des femmes enceintes, car elles aussi faisaient partie du voyage.
La France conduisait principalement les esclaves dans les Antilles (Guadeloupe, Martinique, ...) où ils travaillaient dans les plantations et continuaient à pratiquer ce qui devint plus tard la magie antillaise. Un « code noir » a même été instauré pour priver les esclaves de tout droit naturel. Il faisait partie du code pénale depuis 1810. Les esclaves étaient marqués au fer rouge. S'ils s'échappaient on les marquait d'une fleur de lys sur l'épaule droite. A la seconde tentative on les marquait également sur l'épaule gauche et on leur sectionnait le tendon d'Achille.
Il faut attendre le 21 mai 2001 pour que la France fasse voter une loi reconnaissant l'esclavage auquel elle a participé comme un crime contre l'humanité.
Trois siècles d'esclavage
Pendant trois siècles il y a eut plus de dix millions de déportés et de déracinés pour le compte de l'esclavage. La France y a beaucoup participé avec le port négrier de Nantes d'où partaient les bateaux destinés à transporter ce qu'il appelaient « le bois d'ébène ».
A l'arrivée au port, le bateau était entouré d'un grand filet pour éviter les suicides. Pendant la traversée il y avait plus de 30% des esclaves qui n'arrivaient jamais au bout. Les esclaves étaient nus pour éviter la vermine. Seule les femmes portaient un cache-sexe et un pagne autour de la taille. Des femmes noires étaient désignées pour s'occuper des femmes enceintes, car elles aussi faisaient partie du voyage.
La France conduisait principalement les esclaves dans les Antilles (Guadeloupe, Martinique, ...) où ils travaillaient dans les plantations et continuaient à pratiquer ce qui devint plus tard la magie antillaise. Un « code noir » a même été instauré pour priver les esclaves de tout droit naturel. Il faisait partie du code pénale depuis 1810. Les esclaves étaient marqués au fer rouge. S'ils s'échappaient on les marquait d'une fleur de lys sur l'épaule droite. A la seconde tentative on les marquait également sur l'épaule gauche et on leur sectionnait le tendon d'Achille.
Il faut attendre le 21 mai 2001 pour que la France fasse voter une loi reconnaissant l'esclavage auquel elle a participé comme un crime contre l'humanité.
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